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Oedipe

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AuteurMessage
Œdipe VassiliŒdipe Vassiliprofil +Oedipe Empty
MessageSujet: Oedipe Oedipe EmptyMer 9 Fév - 15:13


Si tu veux rentrer à l'Ambroise,
va falloir me dire qui tu es...


Identité

  • Nom :Vassili
  • Prénom :Œdipe
  • Âge :20 ans
  • Origine (s) :Atlantis
  • Orientation sexuelle : Bisexuelle
  • Métier : Clef … ou esclave
  • Fonction : Clef d’Atlantis

  • Pouvoir :Envoûtement. Œdipe a un charisme hors du commun. A ce titre, il est capable d’exercer une certaine influence non pas sur les actions des autres, mais sur leurs émotions et sentiments. Il pourra aussi bien renforcer une émotion que l’atténuer, insuffler un sentiment de bien-être ou au contraire de la folie etc. Il peut également se montrer plus attirant qu’à l’accoutumée ou au contraire bien plus impressionnant. Le pouvoir d’Œdipe varie d’une personne à l’autre et dépend bien souvent des dispositions que l’on a à son égard. Ainsi il aura bien plus de mal à influencer une personne qui se méfie de lui, par exemple.


Tourne toi un peu, pour voir,
que je sache à quoi tu ressembles...


Physique

  • Je me tenais debout contre le mur et regardais nonchalamment par la fenêtre de l’une des chambres de la maison close. Comme souvent. J’avais bien grandi et gagné en musculature depuis que Cassius m’avais arraché à mes parents. Je me détournai ensuite de la fenêtre et s’avançai dans la pièce d’un pas élégant. J’avais la démarche décidée de ceux qui aiment dominer. Arrivé face au miroir, J’arrangeai le col de ma chemise gris perle. Je ne portai que des couleurs froides, ou bien du noir. Les couleurs chaudes n’étaient plus à mon goût depuis longtemps, trop chatoyantes pour mon tempérament. Je me passai ensuite de l’eau froide sur mon visage diaphane, appréciai la fraicheur des gouttes dégoulinant sur ma peau douce. Après quoi je réajustai mes manches afin de bien dissimuler les cicatrices de mes avants bras.Voilà un détail de mon apparence physique que les autres n’avaient pas besoin de commenter. Je relevai finalement la tête écartai une mèche des mes cheveux de la couleur de l’ébène. J’observai quelques instants mon visage de marbre, mes lèvres serrées, mes yeux bleus turquoises dans lesquels je pouvais y voir un torrent de sombres sentiments.

    J’avais changé.


Et puis parle moi un peu de toi,
pour que je te connaisse mieux...


Psychologie
  • Avez-vous souvent regardé la mer ?
    Belle et calme, lorsque le soleil rayonne de toute sa beauté. Sa splendeur et son élégance vous attirent et vous mourrez d’une envie irrésistible de vous en approcher, peut-être même d’y goûter. Prélassez-vous auprès d’elle et la mer sera capable de vous faire oublier n’importe lequel de vos soucis. La plénitude que vous recherchiez tant, vous la trouverez enfin à ses côtés.
    Mais ne dit-on pas qu’il faut se méfier de l’eau qui dort ?
    Ce qui est sauvage peut être dangereux. La mer, aussi pure puisse t elle paraître, n’est pas sans péril. Sa douceur apparente cache bien souvent de puissants courants qui ne manqueront pas de vous happer, de vous emmener avec eux. Bien sûr, vous chercherez à résister avant d’être ramené à l’état de poupée de chiffon.
    Et lorsqu’une tempête éclate, elle déchaine sa colère majestueuse, emportant tout sur son passage avec violence et grâce. Pour finalement redevenir calme et inspirer à nouveau la sérénité.
    Ceux qui croient pouvoir dompter la mer se trompent. On ne soumet jamais vraiment ce qui est indomptable. Tôt ou tard, elle saura rappeler à leur mémoire qui est véritablement fait pour régner.
    Personne ne peut être dessus de la mer. Il y a ceux qui sont en harmonie avec elle, acceptant ses règles… Et les autres…

    Je connais bien la mer. Je suis comme elle.

    Certains diront également de moi que je suis prétentieux, avec une fâcheuse tendance à prendre les autres de haut et à me montrer impérieux. Ils n’ont pas tout à fait tord et je fais mon mea culpa en vous avouant que j’ai surtout une fâcheuse tendance à me montrer égocentrique. Nous avons tous des vices. Certains sont plus facilement décelables que d’autres, voilà tout. Si je me sens parfois au-dessus des autres, c’est tout simplement parce que généralement, je le suis. Les blessures du passé auront au moins eu le mérite de m’assagir, à défaut de me rendre moins orgueilleux. J’ai appris à vivre avec un certain détachement. J’observe, je regarde beaucoup et n’en perd jamais une miette. Je veux me nourrir de vos faiblesses, mais surtout des siennes.
    A Ambroise –comme ailleurs finalement- les choses sont simples. Il y a ceux que j’apprécie, ceux que je respecte, ceux que je méprise et Cassius, que je hais. Il ne s’en doute pas, mais j’ai changé. Je suis sûr de moi à présent et je suis patient. Je sais que mon heure viendra et peut-être bien plus rapidement que l’on ne serait tenté de le croire…


Tu me racontes un peu ta vie,
quand même ?


Histoire



  • Le Paradis Englouti est illusoire

    La nuit il m’arrive parfois de rêver de mon enfance. Mon inconscient ramène à la lumière ce qu’éveillé je refuse de me remémorer. Et mes nuits sont douces, mon corps dans son sommeil est empli d’une infinie chaleur. Surtout mon cœur.
    Un jour, j’ai été heureux.

    Je suis né alors qu’Atlantis était encore sous les eaux. L’Engloutissement était alors une histoire trop complexe et trop obscure pour l’enfant que j’étais et l’on esquiva longtemps les questions que je posai. Je ne comprenais pas en quoi nager au milieu d’animaux aquatiques et de plantes marines était si dramatique. Mais lorsque le passé est trop douloureux on préfère se concentrer sur ce qui reste à faire. L’avenir et lui seul. Je l’apprendrai plus tard à mes propres dépens.
    J’étais entouré de ma famille, vivait dans le confort lié à la richesse de mes parents, commerçants. Enfant charismatique, j’avais un groupe de petits camarades que j’aimais diriger. A l’époque je décidai de qui avait le droit de jouer avec nous et de qui devait se tenir à l’écart. Je n’hésitai pas à me montrer très dur et à en venir aux mains, lorsque l’on défiait mon autorité ou que l’on chagrinait ma sœur. Aimant l’aisance plus que tout autre chose, la paresse était un pêché qui venait se rajouter à la colère. Je préférai rêver et me prélasser plutôt que de me fatiguer à la tâche. Sauf lorsqu’il s’agissait d’embêter ma sœur. J’essayais de trouver tous les stratagèmes possibles pour ne pas aider ma mère lorsqu’elle me le demandait. Agacée, elle me disait souvent que je me comportais comme un véritable petit roi. Je ne voyais pas ce qu’il y avait de péjoratif là-dedans. Qui n’a jamais rêvé d’être roi ?
    Lorsqu’il s’agissait de mon père, en revanche, je me comportai différemment. Si j’éprouvai un amour immense pour chacun des membres de ma famille, il était le seul pour lequel je ne cachai pas mon admiration. Mon père était beau, mon père était fort. Il était parti de rien et avait réussi à devenir riche et à rendre ma mère heureuse. Il n’hésitait pas à travailler durement avec courage et honnêteté. Mon père était l’intégrité même. Il incarnait un modèle, un héros. Un dieu. Il était celui que je rêvai d’être, celui que je ne serai jamais. Il s’évertua à m’inculquer bon nombre de valeurs, et me réprimandait souvent à cause de la violence dont je faisais parfois preuve auprès des autres enfants. Pour lui j’aurais été prêt à tout et je n’hésitais jamais à venir l’aider dans son travail, même lorsque cela s’avérait difficile. Ce fut auprès de lui que j’appris à être courageux. Et du courage, il m’en faudrait beaucoup.

    Le rêve est doux, l’éveil douloureux. Ce passé révolu réveille une souffrance encore présente…


    Cassius, le complexe d’Œdipe

    Le plus douloureux dans l’illusion, c’est lorsque l’on réalise que tout n’est que duperie. Je ne fais aucunement référence à l’amour de ma famille, mais plutôt à l’univers dans lequel je vivais. Il n’ait aucun Paradis qui soit réel, encore moins celui qui est perdu dans les abîmes…

    La fin de notre bonheur s’abattit sur notre famille, tel un couperet. Avec violence et rapidité, sans que l’un d’entre nous n’ai pu s’apercevoir de quoi que ce soit. Ce jour là s’annonçait pourtant comme une journée de marché des plus ordinaires. J’aidai mon père et nous espérions vendre nos marchandises. Mon père était en train de négocier le prix de l’un de nos produits lorsqu’il arriva. Celui qui avait pris la place des rois, celui qui avait prétendu être un Dieu. Cassius. Son arrivée au marché fut des plus remarquées. Il avait beau être le responsable de l’Engloutissement, tout le monde voulait le voir, le toucher. Et j’étais comme les autres. J’étais curieux de savoir en quoi un monarque pouvait être différent de moi. Je suivi la foule, me faufilait entre les gens pour finalement lui faire face, presque par hasard. Nos regards se croisèrent. Il fixa mes yeux bleus tandis que je me perdais dans les siens. Puis Dieu parla et tout le monde se tut. Il me demanda mon nom et voulu savoir d’où je venais. Fier de captiver le regard de la foule, je répondis sans une once d’hésitation. Il continua ensuite sa route après avoir rajouté qu’il me trouvait beau. Je rentrai alors chez moi, plus orgueilleux que jamais. Le soir même, des gardes du palais venaient et m’arrachaient à ma famille.
    Les Atlantes que Cassius trouve beaux sont des êtres maudits.

    Le palais de Cassius a des allures d’un Temple. Aujourd’hui encore, il représente le sanctuaire de mes tourments. A mon arrivée il m’expliqua qu’il n’avait cessé de penser à moi, qu’un être tel que moi ne s’oubliait pas. Et parce que ses pensées ne cessaient de le ramener vers moi, il s’était décidé à me prendre. Il ne fallait pas que je sois triste, au contraire, je devais être fier. Je rendais heureux un dieu et il m’honorait en retour. Je fus ensuite amené dans une geôle. Elle avait beau être plus coquette que l’idée que j’avais des prisons, une cage était une cage…
    Rendre Cassius heureux consiste à céder à tous ses désirs. Et comme cet être lunatique est capable de changer de comportement en l’espace d’une seconde, il est impossible de savoir à quoi s’attendre.
    J’étais l’objet de délicates intentions comme de ses excès de violence. Mais je voulais faire preuve de courage et de dignité, comme me l’avait appris mon père. J’étais surtout empli d’orgueil et ne manquait pas de tenir tête à Cassius, en dépit de tout ce qu’il pouvait faire. Ses venues étaient accueillies par des cris, des injures, des comportements insolents. Je lui tenais tête et il trouvait ça drôle. Il s’agissait d’un affrontement, d’une guerre psychologique. Je finis par la perdre.

    Cassius avait tout prévu. Dans ma chute, deux autres êtres qui m’étaient chers allaient m’accompagner.


    Je regardai par la fenêtre, contemplant les remous de la mer. Il devait y avoir une tempête. Un garde m’arracha à mes songes. Cassius me voulait et cette fois-ci, il ne viendrait pas à moi. On me guida jusqu’à une pièce sombre. A l’intérieur, il m’attendait. A ses côtés, deux silhouettes. L’une était attachée sur un lit, en train de sangloter. Ma mère. L’autre, ligoté à une chaise, se tenait droit, sans bouger. Mon père. Le sourire dessiné sur le visage de Cassius laissait présager le pire. Ce dernier ne tarda pas à déchirer la tunique de ma mère pour dévoiler son corps. Mon cœur battait à tout rompre lorsqu’il m’empoigna par le bras pour me mener jusqu’à elle avant de me dire d’une voix douce

    « Regarde Œdipe, elle est belle n’est-ce pas ? Regarde ses jambes, regarde ses hanches, vois comme ses seins sont beaux. Donne ta main Œdipe, n’aie pas peur. Donne là, je te l’ordonne… Sens-tu comme sa peau est douce. Elle est ta mère mais qu’importe ? C’est une femme avant tout. Et puis nous sommes au dessus de toutes ces choses là toi et moi n’est-ce pas ?
    -Œdipe ne l’écoute pas ! »

    Mon père, sentant le drame arriver, tentait en vain de s’interposer. Mais ce soir là, rien ni personne n’était en mesure d’aller contre la volonté de Cassius.

    « Il veut sauver la mère sans avoir été capable de garder son fils auprès de lui. Ignore-le Œdipe, nous nous occuperons de lui plus tard. Je veux d’abord qu’il puisse être fier de voir son fils devenir un homme. Viens par là, déshabille-toi. Ignore les cris de ta mère et les protestations de ton père. Tu es au-dessus d’eux. Retire tes vêtements ou je le ferais pour toi. Pourquoi hésites-tu ? Tu préférerais ta sœur à la place ? La pureté à la maturité ? Je peux faire venir ta sœur si tu veux ? Tiens… tu t’actives enfin ? Et voilà que tu hésites encore ! Je peux confier ta sœur à la garnison sinon… Mais laisse-moi te dire que ces soldats ne sont plus des hommes, mais des animaux. Prends une décision mais prends la vite Œdipe… »

    L’instant suivant l’impardonnable était commis. En si peu de temps j’étais passé de victime à bourreau. Des larmes commencèrent à couler sur mes joues. Pour la première fois depuis que j’étais devenu le prisonnier de Cassius. Il avait réussi, il m’avait brisé. Ma mère pleurait et je voulais également pleurer avec elle. Alors je m’écroulais sur elle, posai ma tête contre son ventre, à la recherche de réconfort. Malgré mes nombreuses bêtises, ma mère avait toujours fini par me dire que ce n’était pas si grave. Je voulais ces mots, je les espérais ardemment. Au lieu de ça elle hurla et se remit à gigoter. Lorsque je relevai la tête et croisai ses yeux, je me rendis compte qu’elle me regardait comme si j’étais devenu la pire des monstruosités.
    Cassius, lui, n’était pas rassasié. Il m’intima de cesser de pleurnicher et m’amena vers mon père. La vision que j’eus de lui m’ébranla. L’homme que j’avais autrefois tant admiré n’était plus qu’un souvenir. Il m’offrait à présent la vision d’un être pathétique dont le regard était révélateur d’un désespoir infini. Cassius m’expliqua alors que j’avais touché la femme d’un autre et que cela nous obligeait à faire un duel à l’issu duquel seul l’un de nous deux ressortirait vivant. Il ajouta que j’étais bien trop précieux pour qu’il puisse se permettre de me perdre bêtement. Il laissa donc mon père attaché à la chaise et mit un poignard dans l’une de mes mains qui se mit très vite à trembler. Alors que j’hésitai à nouveau, ce fut mon père qui prit la parole et me dit d’une voix brisée :

    « Fais ce que tu as à faire mon fils. Dis-toi simplement que je suis déjà mort. »

    Une horreur succédait à une autre.
    Recroquevillé sur le sol, j’étais perdu au beau milieu du sang de mon père, des cris de ma mère, des rires de Cassius. Non content de me briser, il m’avait réduit en cendres. Et lorsque le spectacle ne l’amusa plus, il appela les gardes. Le corps de mon père fut donné aux requins, ma mère fut gentiment raccompagnée vers la sortie et l’on m’enferma dans ma geôle. A l’aube, un garde vint m’apporter une assiette et des couverts avant de m’annoncer une sinistre nouvelle…

    « Ta mère s’est donnée la mort sur les marches du palais. Cassius est en colère, il a dit qu’il était normal que tu sois si effronté avec une mère pareille. Il l’a donnée aux requins, tout comme ton père. » Il posa mon repas avant de conclure. « La prochaine fois, avant de défier un dieu, deviens-en un ! »

    Il quitta la pièce en riant. Hagard, je fixai avec désir ce que j’attendais depuis que l’on m’avait ramené dans ma geôle. Le couteau. L’annonce de la mort de ma mère ne fit que m’encourager à prendre le même chemin. La Chaos m’avait ouvert ses bras et je comptais bien m’y plonger. Je m’entaillai alors profondément les veines de chacun de mes bras. La douleur m’importa peu, elle ne fut en rien comparable à la souffrance éprouvée par mon esprit et mon cœur. Le sang se mit très vite à couler, abondamment. Je le regardai se répandre le long de mes bras avec fascination et soulagement. L’idée de mourir, plus simple à admettre que celle de vivre, me procurait un bien fou.
    Même la mort, il ne me l’accorda pas.

    Le garde qui venait débarrasser mon repas arriva bien plus vite que prévu. Lorsqu’il vit mes bras ensanglantés. On alla chercher un soigneur ainsi que Cassius, lequel, contre toute attente, me prit dans ses bras. Il me berça, essaya de me réconforter, chercha à connaître la raison pour laquelle j’avais voulu en finir. Avec le recul, je crois qu’il n’a toujours pas réalisé la raison pour laquelle, ce jour là, j’attendais la mort. Néanmoins durant les mois qui suivirent, il prit bien soin d’éloigner de moi le moindre objet potentiellement dangereux. Et je fus forcé de me résoudre à vivre.

    Même les dieux meurent

    Cassius,

    J’imagine qu’une fois achevée j’aurais tôt fait de brûler cette lettre. Rien que le fait d’imaginer tes réactions à la lecture d’un tel message me suffit amplement. Et puis j’imagine que certaines choses doivent restées secrètes… pour le moment.
    Melody qui revient d’Atlantis m’a dit que la cité surplombait toujours les eaux. Je croyais sincèrement que son émergence n’était que l’une de tes nombreuses lubies et qu’elle serait que passagère. Je suis curieux de savoir ce qui t’as poussé à un tel acte. Parfois, je me demande même si cet évènement est lié au départ d’Aentee et moi-même pour Ambroise, puisque ces derniers ont été effectués peu de temps après.
    Ambroise… A mon arrivée j’étais plus résigné que jamais. Puis la venue d’Aentee à mes côtés n’a fait qu’accroître le dégoût que j’ai pour toi. Lorsque j’ai vu son visage, j’ai réalisé à quel point j’étais loin d’être ta seule victime. Ne t’en fais pas, je m’occupe bien d’elle, bien plus que tu ne peux l’imaginer. Elle a encore peur de toi mais un jour viendra où ce ne sera plus le cas. J’y travaille et je ne suis pas le seul.
    Sais-tu que ma résignation a laissé place au détachement ? Je m’attelle à mon travail sans y accorder réellement d’importance. Pas plus qu’à tes coups ou tes égards. Si ma souffrance est encore présente, mon désespoir a fait place à une haine immense qui t’es vouée. Elle est devenue mon oxygène. Parfois, j’aimerais être capable d’éprouver d’autres sentiments aussi intensément que celui-ci.
    Tu ne me croiras peut-être pas, mais j’ai rencontré une autre clef qui éprouve une haine similaire envers son maître. Elle est venue à moi, un jour avec son compagnon. Nos desseins se concrétisent avec le temps et j’attends impatiemment le jour où nous vous prendrons de court.
    Il faut que tu saches une chose Cassius. A Ambroise, A Atlantis ou ailleurs, il n’y a plus de place pour nous deux.
    Souviens-toi que tu m’as déjà tué, ce fameux soir,
    Sache une chose : tout le monde meurt, même les dieux.
    Et moi, je sais comment on tue un Dieu.

    Œdipe



Allez laisse tomber les masques,
dans la vraie vie, tu es qui ?.


Hors RP

  • Vrai nom ou pseudo : déjà dit
  • Age : déhà dit
  • Auteur de l'avatar (dis quel est l'artiste de ton avatar) : demande à Annie
  • Comment tu as découvert ce forum ? demande à Meadow
  • Et tu en penses quoi dis ? J'ai fait un second perso donc il est possible que je l'aime bien
  • Un commentaire ? Nothing
  • Code : [validé par Annie, admirative *_*]



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Annie DuboiseAnnie Duboiseprofil +Oedipe Empty
MessageSujet: Re: Oedipe Oedipe EmptyMer 9 Fév - 16:22

Je n'ai aucunes corrections à faire ♥♥

J'adore, c'est vraiment Oedipe. Tu l'as développé, tu lui as donné une vie. Je perds mes mots. J'adore vraiment ta fiche. Je la trouve très bien écrite, très jolie ^^.

Je ne peux donc pas te refuser le validation \ô/.

Je vais de ce pas te donner ta couleur rose 8D et ton rang et l'accès au QG des clefs \ô/

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Oedipe

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