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"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\ EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.]

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Mélusine JavretteMélusine Javretteprofil +"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] Empty
MessageSujet: "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/! EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] EmptyLun 2 Mai - 23:45


Si tu veux rentrer à l'Ambroise,
va falloir me dire qui tu es...


Identité

  • Nom : Javrette.
  • Prénom : Mélusine.
  • Âge : Un coup de fouet pour chacune des années de ma vie... Cela vous tente-t-il toujours de connaitre la réponse ?
  • Origine (s) : Je suis l'origine de toute chose en ces lieux... Ou presque.
  • Orientation sexuelle : Pourquoi se cantonner derrière de futiles limites...? Homme ou femme quelle importance tant que cela peut nous contenter un tant soit peu.
  • Métier : Pardon...?
  • Fonction : Maître, of course. ~

  • Pouvoir : « Batarde » d'une mère succube et d'un père humain, j'ai bien évidemment hérité des dons de ma mère... A moindre échelle, cela va de soit. Je n'en veux pas à mon père, loin de là. La vie serait trop simple si j'avais entre mes mains, ce que ma mère avait jadis. Les défis seraient moins excitants et les victoires bien moins glorieuses et honorifiques.
    Quoiqu'il en soit je peux à ma guise – jusqu'à une certaine mesure – changer d'apparence en fonction de celui qui me regarde. Je me matérialise en son idéal, en son fantasme pour le séduire, jouer avec, tirer de lui ce que bon me semble... Et pour finir par le détruire.
    Je joue sur le conscient et l'inconscient des gens. Ca se rapproche de l'hypnotisme à dire vrai... Mais tout ce que je montre n'est qu'illusions et il suffit d'une baisse de concentration pour que le monde de rêve que j'offre s'étiole peu à peu aux yeux de ceux que je berne.
    Grâce à ce don, je peux séduire, pousser les gens à faire certaines choses pour « moi », pour ce que je leur offre. Ils le font de leur propre volonté, je n'oblige à rien... Et je n'en ai pas le pouvoir. Mais je suis si persuasive et sais leur faire miroiter tellement de choses qu'en général cet exercice n'est pas bien difficile... Contrairement à ma mère, je ne peux envouter à vie un homme avec un simple baiser. Je ne sais pas comment faire à vrai dire mais n'en ai cure. Peut-être le pourrai-je un jour d'une autre manière, plus difficilement, mais cela ne m'intéresse pas au fond. Les défis, encore et toujours les défis pour arriver à me surpasser...


Tourne toi un peu, pour voir,
que je sache à quoi tu ressembles...


Physique

A défaut d'être dotée d'une intelligence décente, ma mère avait un physique plus qu'avantageux, surnaturel. A croire que Mère Nature aura voulu compenser et lui donner une chance de « paraitre » mieux qu'elle n'est en réalité. Après tout, c'est bien avec ce don qu'elle a pu prendre Papa en grappe. Mon père... Cet être si humainement beau, si « fragilement » parfait. Je pense lui ressembler bien plus que je ne ressemble à ma mère en réalité. Et même si je ressemblais un peu plus à cette trainée, mes dons font en sorte que je peux sculpter mon physique comme bon me semble, tel que je le veux et tel que ceux qui posent leurs yeux sur moi le veulent... L'apparence, toujours et encore. C'était là le Maître Mot de l'existence futile et écourtée de ma catin de Mère.

Trêve de bavardage, c'est de moi dont je dois parler. Et j'avoue ne pas être très douée pour donner un avis sur ma personne, mon avis étant que je suis « raisonnablement » parfaite. Si je puis dire.
Pour avoir un avis objectif, du moins, presque... J'ai demandé à ma chère clé de me dire en quelques lignes et le plus clairement possible, ce à quoi je peux bien ressembler... Quand le charme cesse et qu'aucun artifice ne vient modifier mon apparence. Et sachez qu'en aucun cas je n'ai corrompu October pour qu'il me définisse aussi... Lisez plutôt.


Que dire de ma Maîtresse... Elle est parfaite. Elle ressemble à ses parents, comme tout bon enfant mais ne lui dites pas, elle en serait vexée. Ses géniteurs étaient ma foi bien grands et à l'allure svelte. Sa mère avait – à l'instar de son père - le teint plutôt pâle. Maintenant son teint doit être cadavérique, si tant est qu'il subsiste d'elle un peu plus qu'un tas de poussière dans sa fosse...
Tous deux avaient de grands iris claires, entre le bleu et le vert... Iris dont la Belle a hérité.
Venons en maintenant à ma chère Mélusine... Pour ce qui va suivre, il faut savoir que ce qu'elle cherche est l'originalité. Elle a horreur de se fondre dans la masse, d'être l'une parmi les autres et de faire comme tout le monde. Elle a ce côté anticonformiste dans quoiqu'elle fasse... Son souci premier, et ce depuis son plus jeune âge et d'aussi loin que mes souvenirs remontent, est qu'elle faisait tout son possible pour se démarquer des autres. Elle usait déjà de son pouvoir pour se donner le détail qu'il fallait pour être remarquée et désirée. Elle aurait juste aimé qu'on ne la reconnaisse pas comme étant l'enfant de sa Putain de mère.
Pour commencer, elle a toujours fuit le soleil pour être la plus pâle possible. Son teint d'albâtre, elle le conserve et l'entretient encore aujourd'hui, par habitude et parce que j'avoue que cela lui va plutôt bien...
Quant à son allure, elle n'a pas besoin de l'entretenir. A vrai dire elle est mince. Trop mince à mon goût, surtout en sachant qu'il lui arrive, selon ses humeurs de ne pas se nourrir des jours durant et de rester prostrée dans sa chambre. Sa minceur est d'autant plus visible qu'elle est grande – pour une femme. Elle doit faire ma taille ou à peine un peu plus... Tout ceci fait qu'une personne lambda, en la croisant, pourrait penser qu'elle est malade... D'autant plus que ma chère Maîtresse aime se pavaner uniquement vêtue d'un drap. Elle dit que la perfection n'a pas besoin d'apparat pour se montrer. Ce qui en soi est absolument exact... Par contre, malgré sa presque maigreur, la Nature lui a offert de belles formes... Qu'elle met en avant quand besoin est: elle sait se servir de ses atouts comme la Reine qu'elle est et en tirer de grands avantages...
Du grand, allons maintenant vers le détail.
Son port de tête est fier, arrogant... Et il le faut bien pour une femme de son rang: elle a l'étoffe de ses Souveraines aux lourdes couronnes parfaitement posées sur leur imposante chevelure coiffée d'on ne sait quelle atroce manière. La sienne quand à elle tombe en cascade sur ses épaules délicâtes et jamais celle-ci n'est attachée. Ses longues mèches d'un blond très clair, presque pâle - mais qui gardent tout leur éclat - se finissent en quelques larges boucles qui lui viennent naturellement. Elle se plait à penser que ses cheveux sont quelques milliers des fils d'or tissés par les farfadets voleurs d'enfants... Soit, je n'irai pas la contredire.
Parlons ensuite du vert de ses prunelles qui rappelle fort bien celui de la plante du nom d'Ambroisie, la denrée rare des célestes Dieux de l'Olympe. De grands yeux en amande constamment ouverts sur le monde qui l'entoure sertissent à merveilles ses iris. Quant à ses lèvres, elles ne sont ni trop charnues, ni trop peu et ont la couleur d'un pétale de rose... Couleur qui contraste beaucoup avec son teint de porcelaine quand ses lèvres prennent une teinte presque sanguine. Venons-en maintenant à son nez... Plus jeune, je m'amusais à me moquer de son petit nez qui finissait légèrement en trompette. Il faut dire que c'est celui de sa mère en toute conformité d'après ses dires. M'enfin... Il lui va à ravir alors bon, elle ne peut qu'en être satisfaite !

Faisons maintenant attention à une partie de notre anatomie qui peut paraître d'une importance négligeable pour certains mais qui sont pour elle un grand atout... Ses mains. Elle fut musicienne et a les mains de l'emploi... Ses doigts, longs et fins s'accordent si bien au clavecin et à la harpe qu'ils caressent... Elle aime les garder nues, sans bijoux, quand elle le peut et les soigne maladivement, de peur qu'elles ne s'abiment ou ne se blessent... C'est bien là une de ses rares faiblesses. Mais que voulez-vous, c'est aussi avec ses mains qu'elle donne à la fois plaisir et souffrance...

_« La simplicité est l'habit de la perfection. »
Voilà une phrase qui convient parfaitement à ma Déesse. Quand elle se vêtit, elle aime que cela reste simple, sans marque extravagante de richesse, tout en restant évidemment dans son anticonformisme maladif. Elle a pour habitude de porter de longues robes, voisines de celles que jadis portaient les romaines... Elle ne se fatigue pas à chercher des heures durant et se recouvre, uniquement par décence envers les autres... Quand elle est d'humeur.
Par contre dans les grandes occasions, elle travaille un peu plus sa tenue, y ajoutant peu de bijoux, fleurs, voiles et châles... Pour ce qui est du maquillage, loin d'elle cette « horreur » elle tient à garder sa peau de pêche aussi vierge que possible de tous ces produits. Cela lui donne un charme irrésistiblement naturel et envoutant... Il n'y a que ses yeux qu'elle tient parfois à parer.

Voilà où s'arrête la description de ma clé... Pour ce qui est de mon nez, October n'a pas tord, mais il paye chaque jour pour ses lointains affronts.
Pourtant ce qui a été dit jusque là n'est que la facette réelle de ce à quoi je ressemble. Sans charme ni artifice, voilà en effet la façon dont vous me percevrez. Mais je pourrai être brune, rousse – quelle horreur... - ou avoir les cheveux courts, le teint hâlé, être plus grande ou plus petite encore... Être plus enrobée, me vêtir de parures d'Orient ou de toilettes inégalables en prix... Je puis être qui je veux aux yeux de ceux qui me regardent. J'ai réussi, grâce à des années de pratique, avoir un contrôle sans borne sur mon pouvoir de succube si bien qu'au milieu d'une assemblée, je pourrai avoir plusieurs apparences simultanément, jouant avec l'idéal féminin de plusieurs personnes...


Et puis parle moi un peu de toi,
pour que je te connaisse mieux...


Psychologie

_« Depuis longtemps je ne suis pas, je parais être. » [Mélusine]
Ce qu'il faut savoir c'est que... Ce que je suis je n'ai pas voulu l'être. Pas dès le début plutôt. J'y ai été forcée bien malgré moi... Depuis des années, je ne suis plus qu'un simulacre d'humanité, qu'un pantin de moi-même et à force de revêtir un costume et de porter un masque, ceux-ci m'ont collé à la peau pour ne plus jamais, ou presque, me laisser de répit.. J'ai commencé à apprécier ce que je suis devenue autant qu'à le haïr. J'ai préféré laisser l'enfant que j'étais dans un coin pour ne pas avoir à le regarder en face et à l'entendre me réprimander. S'oublier est un acte infâme que parfois je regrette d'avoir commis... Où est passé mon innocence, mon inconscience de fillette et mon regard émerveillé sur les choses les plus simples ? Aujourd'hui je n'ai plus de pitié, plus de scrupule, plus de conscience ou presque. Juste assez pour me rappeler à l'ordre parfois... Un retour au sol douloureux et brutal. Dans ces rares moments je préfère être seule. Seule entre mes quatre murs et y faire exploser ma rage sourde contre moi-même, y faire éclater les vases et autres ornements qu'autour de moi je pose pour paraître normale. Tout n'est qu'apparence pour cacher les sentiments de dégoût et de rejet de moi-même. C'est à s'y perdre soi-même quand on s'adore et qu'on se déteste à la fois... C'est une double vision que j'ai du apprendre à apprivoiser pour m'assumer pleinement... Après la crise de violence, j'entre alors dans une phase de mutisme de laquelle rien ni personne ne peut me faire sortir... Ma carapace doit se reformer, pièce après pièce pour que les apparences ne s'étiolent pas... Pas en public. Autant dire que cela peut me prendre beaucoup de temps... Quelques jours, une semaine peut-être. « J'ai mal d'être moi ».
Ce que je vais dépeindre maintenant c'est avec des mots pesés, mais je consens à dire que le chemin de ceux-ci pour une prétendue finalité m'est inconnu, alors pardonnez-moi si cela vous paraitra trop vague...

_« Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui. » [Antoine de Saint-Exupéry]
Arrogante, hautaine, suffisante...Voilà les premières choses que l'on dit de moi en me croisant. Toute ma vie n'a été qu'un long – et secret - apprentissage pour avoir une poigne de fer. J'aime intimider, instaurer un climat de tension quand je passe une porte et voir les yeux se river sur moi, tintés à la fois d'une pointe de désir et d'une touche de crainte...
D'ordinaire plutôt silencieuse, je sais toutefois m'imposer quand je le juge nécessaire et mes réflexions peuvent se faire cinglantes et sans appel.
J'avoue maintenant que je suis un paradoxe à part entière, que je valse entre deux voies...On peut dire que je ne suis pas très sociable et que je préfère la solitude, le calme et l'intimité plutôt que de me sentir oppressée en des lieux bondés... Autant dire que je ne cherche pas forcément la confrontation mais que je saurai cracher mon venin à juste titre si on me titille trop...
Dans d'autres contextes je peux me montrer plus que sociable, cherchant le contact à tout prix pour des raisons de... Pulsions sexuelles. J'en ai besoin c'est pour ainsi dire presque vital. Quand le besoin se fait pressant, je hère dans le seul but de trouver ma proie d'un soir et d'assouvir des fantasmes que je ne saurai tous avouer tellement ils m'effraient parfois...
N'en déplaise à votre personne, chaque rencontre que je fais est pour moi une nouvelle expérience, un jouet dont il faut que je teste les limites. Jusqu'aux dernières supplications...Supplications qui d'ailleurs ont un effet d'intense jouissance sur moi... J'aime voir les gens souffrir, les voir sous mon contrôle et les voir se soumettre tels de bons cabots. J'en retire un plaisir sexuel malsain... Et une fois n'est pas coutume, j'aime aussi que l'inverse se fasse: être violentée m'amuse et m'excite...
Toutefois ne vous méprenez pas, j'ai une sainte horreur de perdre le contrôle de moi-même. Ne vous étonnez pas alors si je ne vous laisse aucune marge ou presque de manœuvre en ce qui concerne le domaine sexuel. Pour ce qui est des relations publiques en général, qu'importe ce que les autres pensent de moi. Je me joue d'eux s'il le faut, sachant parfois être mielleuse et hypocrite mais uniquement à des fins personnelles. A quoi bon si je n'en retire aucun intérêt ?

« Sauvage » je n'ai donc d'affection que pour de très rares personnes, à peine quelques connaissances que j'aurai su me faire au fil du temps. Des gens qui auront appris à voir plus loin que mon apparence glaciale. Non pas qu'elle ne l'est pas réellement, loin de là, mais j'ai au fond un certain respect pour ceux qui n'auront pas fuit dès la première brimade je le leur aurai « offerte »... A ceux-là je voue une loyauté sans faille – ou presque... - et ils savent que j'ai peut-être au fond un résidu de sentimentalisme et qu'ils pourront me demander mon aide si le besoin s'en faisait sentir et s'ils ont de quoi me rendre la pareille... Pas trop non plus, j'ai bien d'autres chats à fouetter. Et si les personnes que j'affectionne se font rares c'est parce que « Plus grande est la confiance, plus grande sera la trahison. ». J'ai pu, plus jeune, vérifier la véracité de ce dicton... Dans un sens comme dans un autre, je dois fièrement l'avouer. Et que l'on ne se trompe pas, je ne donne jamais de seconde chance à celui qui me trahis.
Par souci de préservation et de suffisance, je n'ai pas pour habitude de m'amouracher. Si seulement je pouvais savoir ce que signifie ce mot... Je ne m'attache généralement pas, fuyant cette trop grande marque d'humanité et préférant me montrer odieuse pour tuer le mal à la racine dès que je me sens m'avancer sur un chemin périlleux. Quitte à faire souffrir et à perdre une personne qui aurait pu m'être « chère »... Mais un ami en plus est une faiblesse en plus.

Relativement douce et mesurée, je peux pourtant me montrer implacable et sans pitié: je n'ai pas peur de blesser tant avec mes mots qu'avec mes actes. Depuis mon plus jeune âge j'ai toujours pris plaisir à écraser et à détruire moralement, ouvertement, ceux qui se sont dressés sur mon passage. Pourquoi croyiez-vous que je fut celle que Caïn choisit pour lui être fidèle...? Pourquoi croyiez-vous aussi qu'aujourd'hui je sois sur son « Trône »...
Ne soyez point surpris d'ailleurs si d'un coup d'un seul mon humeur se voit changé à l'opposé. Je suis lunatique, colérique et j'avoue avoir parfois la main volatile. Un néfaste côté qui me vient sans doute de feu mon Maître... Pour un mot, un regard ou une posture, je peux m'emporter sans même en connaître les raisons... Je cherche alors un bouc-émissaire qui saura recevoir mes coups, ma raison et mon civisme étant aveuglés par ma rage...Et dans le cas ou personne ne pourrait endosser ce rôle, je passe mes nerfs sur ma propre personne, usant de ceinture ou de quelconques liens pour m'infliger une douleur vive mais si apaisante...


_« Sphinx, hydre, lionne, vipère, qu'est-ce que tout cela ? Rien devant la race exécrable des femmes. »   [Anaxilas]
Nous parlions plus tôt de masques, de comédie et d'une absence presque totale de scrupule chez moi... Soyons claire sur les faits, quand je veux quelque chose ou quelqu'un, quoi que je dusse dire ou faire, quelques soient les obstacles et les dommages collatéraux, je n'en ai cure et m'évertue, avec toujours la même obstination et le même arrivisme qui me caractérisent à arriver coûte que coûte à mes fins... Je saurai mentir, engrainer, manipuler et surtout... Surtout jouer avec les gens. Que sont-ils au fond à part les misérables pièces d'un vaste échiquier ? Que sont-ils de plus à part les simples pions de mes sombres desseins...? Le monde, MON monde serait bien ennuyeux sans les pantins de mes moindres désirs...
Faut-il que je sois douce, puérile ou déjantée et extravertie à outrance, qu'importe le masque que je porte s'il me permet d'obtenir ce que bon me semble et que j'en retire une entière satisfaction.
Qu'importe aussi la prise de risque ! Plus il y a de risques plus le défi m'intéresse et m'excite. Depuis mes jeunes années, déjà, au service de Caïn, j'aimais faire face à son autorité, quitte à recevoir des coups – excise punition – quand je me faisais prendre... Aujourd'hui le piment d'antan se fait moindre et j'avoue que cela me chagrine... Et j'ai tellement perfectionné mon jeu - que dis-je, mon Art ! - qu'il devient difficile, si difficile de me faire prendre...
Qu'à cela ne tienne vous êtes prévenus: vous n'êtes que des larves à mes yeux. De misérables larves que je n'hésiterai pas un seul instant à écraser par nécessité et surtout par... Plaisir. Ou par ambition aussi vous dirons certains. Je ne le nierai pas, loin de moi cette idée. Après tout, il m'en a fallu pour atteindre mon rang d'aujourd'hui. Il m'en aura fallu de la rage et du machiavélisme pour commettre ce que j'ai commis...Aujourd'hui j'en parle en riant: après tout, la vie de mon Maître avait-elle à ce point d'importance à mes yeux ? Et qu'est-ce donc, une vie pour arriver là où je voulais aller... C'est peu cher payer je trouve et ce fut si... Simple au fond, d'avoir ce geste et de le regarder, le regarder mourir... Où allons-nous là ? Chaque chose en son temps, vous saurez tout de ce fascinant retournement de situation plus tard. Quoique vous devriez déjà connaître cette histoire, elle a fait le tour de mon monde. Belle réputation... Mais chut, c'est un secret.
Que Dieu s'accroche à son Trône Céleste, j'ai eu celui de Caïn, je pourrai briguer le sien. C'est d'ailleurs la seule chose que mon illustre ambition pourrait convoiter maintenant. Même si c'est bien connu, dans ce monde, mon Monde, JE SUIS DIEU.

Quoiqu'il en soit,sachez encore que je mène mon monde à la baguette, que rien n'échappe à mon contrôle et qu'il est évident et j'oserai même dire normal et naturel que je sois arbitraire parfois. Parfois seulement oui, tout dépend de mes humeurs... Mes détritus de « sujets » n'ont qu'à bien se tenir ou je saurai me montrer particulièrement sévère et sans pitié aucune... « Gouverner, c'est faire croire. Gouverner, c'est mettre vos sujets hors d'état de vous nuire et même d'y penser. » [Machiavel]


_« Elle est telle Méduse: ne regarde jamais le fond des ses yeux, tu risquerais de te perdre dans sa folie... » [Une victime de mon carnet de Chasse]
Diable, que lui a-t-il donc pris de dire pareille ineptie...? Je ne suis pas folle. Je suis autrement, parfaitement, différente voilà tout. Allons bon ? Serait-ce juste parce que j'ai tendance à aimer le sang et à aimer le voir se déverser à mes pieds ? Est-ce donc parce que torturer les autres, les voir m'implorer, souffrir et ramper à mes pieds me procure tant de plaisir que je suis dotée de folie ? Non... Diantre, je l'aurai puni pour cet affront. Que dis-je, c'est chose faite... Je sens encore le goût, la chaleur de son sang envahir ma bouche et couler lentement dans ma gorge.
Seigneur, si le goût du sang est désirable, celui de la chair humaine l'est davantage... Il est certes rare que je puisse m'en délecter, mais je sais m'en contenter. Je n'en ai pas le choix, même si je suis Maitre en ces lieux... Toutefois quand une rage noire et sourde gronde en moi je ne garantis pas que ma victime s'en sorte dans toute son intégrité... La rage que voulez-vous, il faut bien que je l'expie et que je la rassasie... Ne craignez rien - si je puis dire... - il est rare, si rare de me voir aller dans de telles extrémités. Mais on dit qu'en y goûtant une fois, on ne peut plus s'en passer. C'est bien vrai, je le confirme: ce goût n'a nul autre pareil et la tendresse de cette viande saignante n'a pas d'égal
Les noms d'Elisabeth Bathory et d'Atia de Julii ne vous disent peut-être rien, le mien par contre, retenez-le. Ces femmes ne sont que le fruit de mon imagination, de la votre et ne sont qu'une facette de moi. Si vous tremblez devant leur nom, vous mourrez à la vue du mien.


_« A la recherche de la perfection. »
Je suis parfaite. Les années d'apprentissage auprès de mon vieux Maître m'ont formées à l'être. Ma suffisance, mon narcissisme et mon côté hautain sont le masque qui m'est indissociable et qui résulte de ma vie passée aux allures rigides. Je parle encore ici de masque parce que bien que ces attitudes soient un réflexe, une manière de vivre pour moi, je sais qu'il ne s'agit là que d'une mascarade, que d'une grande comédie.
En définitive, je fais croire que je pense être parfaite mais tout le monde sait que la perfection est un mythe que l'homme passe sa vie à rechercher... C'est pourquoi je reste très exigeante, que ce soit avec moi ou avec les autres. Je suis très tatillon et le moindre détail qui me dérangera me rendra folle au point de tout mettre à sac pour recommencer de zéro pour qu'enfin les choses soient faite comme je le désire.
Je mets un point d'honneur à apprendre le plus possible, passant une grande partie de ma vie entre d'innombrables bouquins pour étancher ma soif insatiable de savoir et ainsi être un minimum érudite et avoir un tant soit peu de conversation...
Naturellement, je suis très fière. La faiblesse me répugne. Jamais l'on ne me verra verser une larme ou me confondre en excuses et ce même si je connais mes tords. A moins que cela ne s'avère totalement nécessaire encore une fois... Et de toute évidence, faire des excuses c'est vouloir se rétablir vis-à-vis de quelqu'un, or je n'en ai que faire que l'on m'aime ou que l'on me déteste, je suffis déjà à cette tâche.

Voilà, je crois avoir tout dit sur ma personne. En tout cas tout ce que je connais et tout ce qu'il m'a semblé bon de dire... Qu'à cela ne tienne, si on me trouve d'autres tares ou d'autres points importants, je ne suis pas au courant.


Allez laisse tomber les masques,
dans la vraie vie, tu es qui ?.


Hors RP

  • Vrai nom ou pseudo : Aeryn.
  • Age : Tssseuh.
  • Auteur de l'avatar : eat01234
  • Comment tu as découvert ce forum ? Grâce à Spicy et Alice.
  • Et tu en penses quoi dis ? Je n'y serai pas si je n'en pensais pas un minimum de bien, cela va de soi.
  • Un commentaire ? ENFIN ! 8D /PAN/
  • Code : Validé by Lilice ♥


Dernière édition par Mélusine Javrette le Ven 11 Nov - 2:45, édité 10 fois
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Mélusine JavretteMélusine Javretteprofil +"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] Empty
MessageSujet: Re: "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\ EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] EmptyMar 10 Mai - 18:03

Tu me racontes un peu ta vie,
quand même ?


Histoire


L'Enfer a été crée par le plus Beau des Monstres qui a vu le jour par le vice et par le sang...
L'Enfer, c'est Elle.


— Parce qu'on vient forcément de quelque part, de quelqu'un...

Des hurlements s'élèvent quelque part au beau milieu d'un taudis doré. Ce lieu quelque peu sordide et glauque renferme tous les excès et les vices d'une femme dont les éclats de rire percent parfois les grognements de ce qu'on pourrait croire être des bêtes... Des bêtes, oui, c'est ce qu'ils sont devenus par vanité. Par amour penseront certains, par dépit pour d'autres qui n'auront pas eu le choix.
Rapprochons nous alors de ce qui ressemble à une arène. Deux hommes mènent un combat de dure halène, entourés d'autres manants qui hurlent, qui beuglent tout leur soul pour exhorter les deux malheureux à se tuer à mains nues. Ils se frappent, se mordent à s'en arracher chair et sang et bavent comme des chiens enragés... Les autres font de même et se prennent, se vomissent dessus, se roulent sur un sol fétide couvert de fluides corporels en tout genre.
Et au dessus de cette arène la seule femme de l'assemblée rit encore aux éclats, tonne ordres et menaces vers tous les hommes, ces hommes qui sont à ses pieds, ces hommes qui forment son harem et qu'elle traite comme une meute de bâtards galeux... « Elle » n'a aucune estime pour eux qu'elle aura su attirer dans ses filets avec une facilité déconcertante.

Pour l'heure la salope est avachie sur son « trône », les joues rosies à force de hurler et de rire... Et parce qu'elle se touche. Inlassablement elle se touche en plein dans ce capharnaüm, laissant ses cabots l'embrasser, lui prodiguer quelques soins et se palucher sous son nez. C'est un triste tableau, une horreur sans nom que ce monde qui est le sien... Mais elle aime ça, elle aime cette dépravation car c'est la seule chose qu'elle connaisse et ce depuis sa tendre enfance. Sa mère avant elle lui a tout appris, l'incluant dans ses premières orgies à l'âge de 9 ans, forniquant bestialement avec ô combien de partenaires sous les yeux déjà pervers de cette gamine.
Alors cette femme avance dans ce monde qu'elle ne connait que trop bien et qu'elle ne voudrait quitter pour rien au monde. Elle grogne, rage, se frappe et frappe ceux qui sont autour d'elle alors que d'une main habile et avec une force véhémente elle enfonce un crucifix dans ses entrailles ensanglantées et humides d'un désir salace. La souffrance, le pouvoir, la soumission, voilà ce qu'elle aime.
Elle jette alors son crucifix et se relève, offrant sa croupe au premier qui arrivera, une jambe sur la balustrade qui sépare son piédestal surplombant l'arène. Ils sont nombreux ceux qui accourent derrière elle pour entrer leur épée dans son fourreau... Ils se battent, s'étranglent, se donnent des coups dans les parties sensibles pour se donner plus de chance d'arriver à combler leur Reine. Reine qui d'ailleurs s'impatiente... Elle se retourne un peu, levant une main devant son visage : oui, le second aura peut-être droit à ses caresses. Les hommes se pressent un peu plus et l'un d'eux finit par darder tout son désir au fond de l'être de la blonde qui hurle son plaisir gorge déployée. Les autres malheureux s'arrêtent alors et sachant que leur Dame ne leur portera plus d'attention, ils s'en retournent à leurs vacations, se prenant les uns les autres, engloutissants montagne de pénis sous le regard fou de leur Femme. Elle bave, gémit, hurle, se griffe au sang parfois tandis que sous ses yeux une orgie rocambolesque reprend son cours... Elle arbore un sourire carnassier, satisfait qui déformerait presque son visage et ses prunelles ardentes sont habitées par une étincelle de pure folie.

Les hurlements de l'arène s'élèvent plus forts, plus voraces et bestiaux que jamais. « Elle » se redresse alors un peu - l'autre la pénétrant toujours - pour jeter un coup d'oeil aux chiens qui se battent. Leur combat approche à son terme : les deux hommes ont leur dextre dardée vers le ciel et l'un d'eux est étendu au sol. L'autre quand à lui est penché au dessus du perdant dont les entrailles sortent de son abdomen tels des serpents dépecés qui se trainent et se tortillent hors de leur nid... Il suffoque, les yeux hagards et le corps rouge de sang, complètement meurtri. Il cherche sa Reine du regard, implore sa clémence par des râles longs et presque inaudibles... « Elle » étire ses lippes de nouveau, le souffle court et le corps en transe. Il va mourir et elle... Elle en jouira. Elle regarde alors celui qui se nourrit du malheureux alors que celui-ci gémit encore, agonisant.


«  Repais toi de son être, achève le ! Branle toi dans ses entrailles et que son corps soit souillé de ton infâme semence ! »

Se retirant de l'emprise virile du mâle qui laboure son être avant que celui-ci ne s'abandonne en elle, la garce se redresse complètement et s'empare à nouveau de son crucifix en poussant son assaillant au sein de l'orgie qui n'en finit pas de durer. Son sourire s'élargit un peu plus , elle s'empale sur son Saint-Joujou et exhale un gémissement alors que le presque mort bouge encore.

« Crève, crève pour moi, pour ta Reine ! Réjouis-toi de mourir en me contentant et en jouissant une dernière fois. Crache le venin de ton sexe vers ce ciel qui te tend ses bras ! »

Se faisant, la Catin se masturbe devant ce spectacle qui la réjouit. Enfin le déchet se meurt, poussant son dernier soupire, son dernier souffle de vie dans le quel son corps est parcouru d'un dernier spasme. Il soupire... Ou alors non, il crie, il gémit. Le son qu'il émet est à vrai dire étrange, on ne saurait le décrire. Il bave encore et son sexe arrogant se crispe dans un dernier effort... Il déverse anarchiquement son nectar impur dans les airs, giclant sur le visage de celui qui le bouffe et qui a fini par jouir, le sexe dans ses mains et emprisonné, frictionné dans des boyaux.
Enfin le malheureux meurt et dans sa délivrance il a joui. Par sa mort, « elle » a joui...

Les autres hommes hurlent de joie, le combat fut beau. Ils se prennent encore et le feront jusqu'à l'épuisement. Et leur Reine se rassoit, apaisée, satisfaite... Cette femme est une succube. Cette femme est Gabrielle.

◊ ◊ ◊ ◊ ◊

Des talons martèlent le parquet laqué du salon de thé d'une famille richissime de Londres. Le fils de cette entreprise familiale tourne en rond. La semaine dernière il a de nouveau rencontré cette femme... Elle l'a envouté, elle l'a perturbé, elle... Il lui faut la retrouver. Il croit avoir eu le coup de foudre et ne croit pas si bien dire. Pourtant il ne sait rien d'elle, le pauvre, l'ignare. Qu'on lui dise qui elle est... Elle ne passe jamais inaperçue et est connue pour ses frasques. Serait-il le seul à ne pas savoir qui elle est ? Elle passe souvent à Londres, s'arrête parfois dans leur salon... Il veut la revoir mais ne sait pas où la trouver... Peut-être la suivra-t-il la prochaine fois qu'il l'aperçoit.

Soit, il la suivra, lui fera la cours... Après tout il est bel homme. Et riche. Et il sait déjà qu'elle n'est pas indifférente à ses charmes. Elle lui lance sourires timides et clin d'oeil discrets, ses joues rougissants légèrement. Elle a un charme fou, elle est tout ce qu'il désire chez une femme. Il la lui faut, elle sera sienne et il saura la rendre heureuse. Si seulement il pouvait savoir à quel point il disait vrai...

« Il » tourne en rond encore et encore quand la clochette de l'entrée sonne. Il se redresse, déjà prêt à accueillir un client fortuné venu goûter les délices d'un thé oriental. Il ouvre sa bouche et se prépare à déblatérer les politesses de rigueur mais aucun son ne sort... Sa main reste comme figée dans les airs alors que ses yeux s’émerveillent devant celle qui le hante depuis des jours. Elle se tient là, face à lui, irrésistiblement belle, viscéralement désirable et définitivement envoutante. Il s'approche, lui propose son bras et l'accompagne à une table. Son cœur bat la chamade, il bat si fort qu'il semble vouloir s'arracher de sa poitrine comme un oiseau en quête de liberté...
Qu'il ose ! Qu'il lui parle, il le faut, il a trop attendu. Il ose alors et c'en est parti pour une discussion longue, passionnante, amusante et enrichissante. Plus le temps passe, plus les heures défilent et il se sent chavirer, amoureux... Quand à elle... C'est la première fois qu'un homme attire son attention de cette façon. Il semble si bon, si innocent, si parfait... Ce pourrait être lui, celui qu'il lui faut pour sa descendance. Elle sait le désirer et croit l'aimer. Elle le veut. Mais au fond d'elle elle sait qu'elle ne pourra jamais vraiment l'avoir ni l'aimer : au premier baiser il sera comme tous les autres, un esclave sans volonté, une coquille sans âme qui ne lui dira jamais non... Tant pis, lui seul est assez beau et assez digne pour lui donner un enfant. Pourvue que ce soit une fille.

Sans qu'« il » le sache, son sort est scellé et sa vie va s'achever... Elle le charme, lui sourit, lui caresse la main. Il chavire, la désire et son regard se pose sans cesse sur ses lèvres. Gabrielle le voit bien et s'en amuse : il est fin prêt... Alors elle se rapproche de lui et lui offre ses lèvres. Elle savoure une dernière fois le regard plein de vie et d'amour de cette Homme avant de lui retirer sa conscience. Elle ferme les yeux, non elle n'aime pas, elle ne peut. Ce n'est qu'un salope arriviste qui se fout de tout à part de son cul. Elle arbore son traditionnel sourire carnassier, sachant que cette vie sera sienne d'ici peu de temps. Et leurs lèvres se scellent, le baiser se fait profond un instant puis bestial. Ces larbins embrassent tous de la même façon et ne veulent que la baiser pour la contenter... Celui-ci n'est qu'un pantin de plus. Elle rompt le baiser et se relève. Sans avoir eu besoin de formuler quoi que ce soit, le malheureux se lève et commence à la suivre, tournant le dos à sa vie, à ses richesses, à sa famille...

Il ne dit rien et s'avance vers un avenir incertain pour lui mais déjà tout tracé par Gabrielle. Il passe dans l'autre monde, avec elle, par Ambroise. Il sera celui qui l'enfantera et lui donnera une fille à qui elle apprendra tout également, comme sa mère avant elle... Cette âme perdue, cet être brisé n'est autre qu'Henry Javrette.

— Parce qu'un Enfant devrait toujours naitre d'un véritable Amour...

Dès lors, les jours, les semaines, les mois passent dans la même atmosphère qu'avant. A un détail près... A peu près. Fraichement revenue avec le digne père de sa future fille, Gabrielle avait jeté tous ses cabots dans l'arène dans un ultime combat à mort. Cela avait pris des jours et des jours durant lesquels elle ne dormait quasiment pas. Elle admirait ce dernier spectacle alors que son « Amant Eternel » s'occupait de son bien-être. Elle jouissait à tout va, gorge déployée, se faisait saigner, se faisait violenter par l'homme qu'elle avait jadis trouvé si distingué et charmant... Aujourd'hui son visage s'était creusé, ses cheveux suintaient d'huile et son corps de sueur et de crasse. Il n'avait presque plus rien du bel homme qu'elle avait rencontré et enlevé mais ce temps ne durerait pas... Elle lui referait une santé et sauverait les apparences. Gabrielle s'en irai de son Taudis Doré pour se ranger dans un vie un peu plus... Un peu moins... Elle serait « dévouée » à son enfant. Enfant qu'elle chérirait, non pas pour elle mais pour son propre intérêt. Elle ne l'aimerait pas non, elle la dresserait et elle même savait combien élever une future succube serait laborieux. Elle devrait y consacrer beaucoup d'énergie, son Amant s'occuperait de la maisonnée. Une maison... Un vrai toit... Un semblant de vraie famille... Elle vomissait intérieurement, mais ses frasques devaient bien se faire moindres un jour. Penser aux générations futures. En apparence...
Un sourire s'élargit sur les lèvres de la Catin. En apparence seulement, évidemment... Elle allait jouir d'une « couverture » alors que pour sûr, par derrière elle allait continuer à vivre dans sa décadence.

Après la mort du dernier chien galeux, Gabrielle et Henry migrent alors à l'autre bout de ce monde pour s'éloigner de ce vieux Bordel où les cadavres s'entassaient et où la puanteur devenait insupportable. Le « couple » nouvellement installé dans une contrée éloignée de Nightmare Land se donne du mal pour assouvir le besoin de maternité de Gabrielle.
C'en suit alors un douce période où Henry retrouve de son panache, de son sublime et de sa classe et finit par engrosser Gabrielle après moult tentatives. L'enfant verra le jour bientôt et le père semble retrouver dans ses yeux une étincelle de lucidité et de... Joie ? Que voulez-vous, la paternité avait peut-être réveillé une partie de son conscient.

Le temps passe encore, bercé par les humeurs de la trainée, les coups et ses orgies malsaines. Son ventre a beau s'arrondir et gagner en forme, Gabrielle ne se prive pas de se faire pénétrer par des hommes chaque fois nouveaux qu'elle laisse ensuite dans une vie d'errance.
Le grand moment approche, Gabrielle fatigue. Enfin...

On entend alors un grognement suivi de pleurs... Mélusine voit le jour. Mélusine vit, Mélusine sera l'instrument de sa mère. Son père lui, l'aime déjà, véritablement, profondément et s'occupe tant et si bien d'elle qu'elle développe un syndrome œdipien... Ainsi qu'une véritable haine pour cette mère qu'en grandissant elle voit maltraiter et épuiser son père. Mélusine n'a jamais aimé sa mère, Mélusine ne l'aimera jamais... Plus elle grandit, plus sa haine grandit. Non elle ne veut pas être comme cette garce pour faire souffrir son père, non elle veut juste vivre avec son père et l'aimer lui... Il a le regard vide quand il regarde ailleurs mais quand il la regarde elle, elle sent, elle sait qu'il l'aime... Mais il souffre, prisonnier de cette salope. Il souffre et ça, Mélusine ne le supporte plus... Alors elle apprend avec sa mère à se servir de ses pouvoirs mais si elle le fait, c'est pour être forte pour son Papa, celui qu'elle aime plus que n'importe quoi en ce monde...

Mélusine a alors neuf ans quand une nuit elle se lève et va embrasser son père après un cauchemar. Sa mère tuait son père dans celui-ci... Non, elle ne supporterait pas de vivre sans lui, de vivre sans son Âme sœur. Alors du haut de ses neuf hivers la gamine prend son courage à deux mains. Elle veut son papa, elle veut un vrai papa qui joue avec elle quand il le veut et pas quand sa mère le lui ordonne. Un père qui l'aide à faire ses devoirs et qui lui ferait plein de vrais câlins, qui sourirait, rirait et serait heureux. Pour tout ça il fallait désenvouter son père... Le libérer de l'emprise de sa mère... La tuer.
Mais elle est encore si jeune alors elle hésite, elle a peur que son papa l'abandonne une fois libéré. Elle espère lui faire confiance. C'est entendu, elle le réveillera après que sa maman soit morte. Mourir de la main de sa fille, quelle succube pouvait se vanter d'avoir élever si bonne enfant... Si Ambitieuse... Non, Mélusine ne veut pas être comme sa mère mais elle le doit...

Alors elle descend à la cuisine, en silence... Elle prend un couteau et regarde sa lame. Il est lourd mais il faut une grande lame plus la plus grande des Salopes.
Elle remonte, tout va vite, trop vite pour sa petite tête... Elle entre à pas de loup dans cette chambre cauchmardesque et s'avance, les jambes tremblantes et la main mal assurée. Avec sa petite force décuplée par sa détermination, la lame pénètre à peine dans le cœur de la garce. Il commence pourtant à se vider sur sa chemise de lin blanche et Gabrielle tente de hurler mais la surprise la desarçonne... Henry se réveille en sursaut et suffoque. Il doit survivre à la mort de sa succube, pour sa fille. Il grogne, se tient la poitrine, hurle et se redresse difficilement. A demi libéré, sa rage déchainée, il enfonce davantage le couteau, aidant Mélusine à achever sa catin de mère... L'impie meurt et le père renait.

Tout va encore plus vite, les souvenirs se chevauchent, le temps les efface... Mélusine se retrouve sur Terre, à Londres... Avec ses grands parents et son père qui n'a pas cessé de l'aimer. De cette nuit ne restera qu'un vague songe dans leur esprit et elle restera à jamais leur petit Secret... La gamine est heureuse et semble revivre. Jamais plus elle ne veut utiliser ses pouvoirs. Pourtant son destin n'est pas à Londres, pas avec son père tant aimé...

Nightmare Land veut récupérer sa Succube, Caïn veut avoir son pouvoir pour consolider son règne... Il fera tout pour l'avoir et a tout fait pour...
Le jour de ses 12 ans, Mélusine reçoit une visite... Elle voit cet homme et ne l'aime déjà pas. Elle le haïra encore plus, pour le restant de ses jours pour lui avoir enlevé son Paradis... Caïn a tué sa famille, sur Terre pour la faire revenir. Plus rien ne la retient à Londres, elle a tout perdu... Alors elle lui prend la main, déchue et le suit. Elle est son esclave et devra se servir d'un pouvoir qu'elle déteste pour lui, pour un homme qu'elle exècre...

Au fond de son être la rancoeur et la colère grandissent chaque jour un peu plus. L'instrument de la gloire nouvelle de Caïn sera aussi l'instrument de sa perte...


— Parce que l'Élève surpasse toujours le Maitre...

L'effrontée marche d'un pas nonchalant entre les murs dans lesquels elle a fini par s'habituer à vivre. Elle les déteste, ils sont une infâme prison, un vomitorium d'esprit. Elle haïssait cet endroit, ce monde dans lequel elle a grandit avec sa chienne de mère. Sa vie n'aura pas été de tout repos et alors qu'elle pensait s'être sortie de cet Enfer, elle a fini par y revenir, encore plus seule qu'avant, plus brisée que jamais... Mais de ce déchirement, de cette douleur, elle a décidé de faire une arme. Rien n'est plus dangereux que quelqu'un qui n'a plus rien à perdre dit-on... C'est tout à fait exact.
Et voilà des années qu'elle est l'esclave au service du Maître des lieux... Il lui a enlevé son unique raison d'exister, son unique Amour, son Univers... Celui pour lequel elle s'était battue pour ne pas être le prolongement de sa mère. Aujourd'hui elle a changé, elle déteste Caïn au point de revenir à ses origines, au point d'être ce que sa mère voulait faire d'elle : une succube sans scrupules, sans foi ni lois autres que les siennes.
Maintenant elle va sur ses 17 ans et a rencontré un jeune homme, une clé déchue en quête lui aussi de liberté. October. Ils s'entendent plutôt bien, il sait beaucoup de choses sur Mélu'... Ils ont une relation de « partage » assez installée pour que la jeune fille lui fasse part de son plan. Elle veut venger son Père, tuer Caïn. Prendre sa place, son trône et mener ce monde comme bon lui semblera, pour faire de lui ce dont elle aura envie, ce dont elle a viscéralement besoin pour se relever. Elle fera de cet univers un monde de perdition, de souffrance, de cruauté et de sang. Les petites gens se plaignent de Caïn mais ne connaissent pas encore l'ampleur de la noirceur de Melle Javrette... Du haut de son jeune âge la gamine sait ce qu'elle veut et son cœur ne bat plus que dans le seul but de faire s’effondrer le royaume décharné de son « Maître »...

Ces dernières années, elle lui aura fait croire qu'elle lui était profondément dévouée, lui obéissant, le contentant parfois. Oh elle a vu sa mère faire avec les hommes. Elle a même essayé de lui montrer comment faire avec son père mais jamais, jamais la gamine n'a accepté de regarder et encore moins de participer... Alors elle contentait Caïn quand il le voulait, usant de ses talents de maitresse. Elle en a de l'expérience la gamine... En plus d'avoir le charme de la jeunesse elle détient les clés du savoir-faire dans une couche. Caïn ne voulait rien de plus, rien à part ça et le pouvoir qu'elle détenait... Et il allait payer de sa vie pour avoir voulu assouvir son désir de la posséder. C'est plutôt paradoxal quand on sait que Mélusine va faire la même chose... Détruire pour obtenir. Mais Mélusine s'en fout. A Moitié... Elle souffre de l'absence de son père, souffre de sa solitude mais ne sait pas comment faire ni quoi dire pour se soulager... A part regarder les autres souffrir pour et avec elle. Elle entend souvent l'enfant, la fille de son père pleurer au tréfonds de son âme, elle a souvent envie de pleurer, de ne pas faire ce qu'elle s'apprête à faire, de ne pas devoir aller aussi loin... Elle a souvent eu envie de mourir, de le rejoindre ou alors de ne vivre qu'une vie simple pour se reconstruire, loin de toutes ces horreurs... Mais Mélu' est fière et surtout... C'est une succube et les succubes se doivent d'avoir le pouvoir. Alors ses instincts de succube prennent le dessus, souvent, et font taire l'enfant qu'elle était. Alors Mélusine aura le pouvoir et écrasera les autres, les fera souffrir pour l'unique raison qu'ils existent et ont eux, le droit de pleurer...

Les mois passent encore, l'idée germe dans sa tête, ses pouvoirs s’accroissent chaque jour plus. Elle se sent presque prête et October s'impatiente, l'encourage... Ce plan, ils seront deux à l'exécuter. Dans un dernier effort sur elle même, Mélusine va vomir. Coucher avec son « Maître » ne lui a jamais plu. Il baise comme un porc, il ne sait pas s'y prendre. Mis à part son plaisir à lui, il n'en avait rien à foutre du reste. Elle sort alors des toilettes et s'en vient dans la chambre « royale »... Elle ferme les yeux et soupire. Cette fois sera la dernière... Elle se pare alors de ce que son Maître trouve à son goût et entre sans prendre la peine de frapper, jetant un dernier coup d'oeil à October. Il saura quand intervenir et quoi faire...

Elle se dévêtit alors devant Caïn, s'approchant lentement alors que celui-ci sirote un verre de cognac... En plus de ne pas savoir baiser il le fait en ayant une halène fétide. Elle lui défait la boucle de sa ceinture et sort son membre flasque. Elle s'agenouille devant lui tandis qu'il lui plaque une main sur la nuque pour l'exhorter à se mettre au travail. Mélusine ferme les yeux, elle voudrait encore vomir mais elle s'active et prend entre ses mains le « royal » pénis pour lui donner plus de consistance... Sa main se fait tantôt douce tantôt plus enhardie et son membre grandit sous les gémissements salaces du Maître des lieux... Mélusine ferme les yeux, plus pour se concentrer que pour arriver à le sucer. Caïn se fait plus insistant et s'enfonce dans sa bouche au point que son sexe lui tape dans le fond de la gorge. Mélusine grogne inaudiblement, les sourcils froncés et continue... Tant pis pour la concentration pour le moment, cela ne saurait tarder. Elle recrache ce membre turgescent et monte sur les genoux de son « Maître » alors qu'il pose sur elle un regard à la fois vitreux et avide et sur son cul une main trop baladeuse au goût de la jeune fille... Elle s'empale sur lui et, ses prunelles droit dans celles de Caîn, entame sa danse lascive et langoureuse. Là au moins elle peut se concentrer, avec ce qu'il à dans le froque, pas de risque qu'elle ne ressente autre chose qu'un profond ennui... Rien à voir avec ce qu'elle ressent quand October la pénètre sans retenue... Il la prend à la gorge et l'étrangle avec force, il la jette au sol, la retourne et fond sur elle pour la prendre comme une catin. Elle grogne et maudit ce bâtard mais cela ne changera rien à ses plans. Elle ferme alors les yeux, simulant des gémissements, calmant son pouls et concentrant son esprit sur l'illusion qu'elle va mettre en place... Maintenir October invisible aux yeux de son « Maitre » pour qu'il puisse venir et l'achever.
Dans son esprit les pièces se mettent en place, les illusions se créent et après s'être assurée que cela tienne assez longtemps, Mélusine lance le signal à son acolyte... Une douce et opaque fumée passe sous la porte qu'elle entend alors s'ouvrir. Dans le monde de Caïn tout reste inchangé... Elle entend son complice s'approcher doucement et le sait tenir un poignard. Le poignard de leur rédemption, de leur délivrance... Elle le sent passer près d'elle et sent le courant d'air fuser sur son corps nu : October se tient derrière le « roi » et a levé l'arme au dessus de leurs têtes pour l'abattre et sectionner tout l'avant de sa gorge d'un geste sec, sans état d'âme. Ses chairs pissent le sang, tout a été tranché proprement... Tout se passe trop vite pour l'esprit embué de Caïn, il ne voit rien mais se sent souffrir, il ne perçoit rien mais sent le sang se déverser hors de lui... Alors Mélusine bondit en avant et rouvre les yeux en se relevant, brisant l'illusion aux yeux de l’impie. Son « maitre » voit tout, surtout le sourire qui fend le visage de son esclave. Il voit son sang, il voit October... Il tente de se relever mais titube, rampe puis s'effondre, la main tendue vers la jeune fille, les doigts crispés dans le vide tels des serres accrochées à une proie invisible. Sa gorge émet des gargouillis, vomit des flots noirs, crache l'écume de la vie qui s'échappe du bâtard. Excitée, Mélusine s'agenouille, le retourne et s'assied sur lui en tenant le couteau d'une main fébrile... Face à ce visage décomposé elle se caresse de sa main libre avant de sectionner le sexe vidé de son « Maitre » et de le lui foutre dans la bouche avant de lui porter l'estocade finale pour mettre un terme à cette agonie qui la fatigue et l'oppresse. Les gestes de la blondes se font précis, calculés mais surtout guidés par une rage aveugle. Ce sexe, elle l'exècre, il la répugne et ainsi tranché, c'est la symbolique qu'elle piétine. Ce sexe qui l'a souillée des années durant, qui la salissait jusque dans ses entrailles, jusqu'au plus profond de son être...
Toujours exhorté par l'esprit de vengeance qui empoisonne le sang et bat dans le corps de Mélusine, le couteau entre alors une dernière fois dans les chairs sanguinolentes du cou de cet homme qui gargouille brièvement avant que ses yeux ne se fassent vides et ternes... Avant que son âme malade ne s'échappe de cette épave. Essoufflée par tant d'excitation, Mélusine se relève et se laisse aller dans les bras d'Octobre qui a assisté et participé à cette mise à mort.

Caïn n'est plus... Mélusine jubile, October savoure. Sur le cadavre du Prince Déchu, la nouvelle Maitresse et sa clé se donnent l'un à l'autre, baisant sur cette carcasse, baisant sur tout ce qu'il représentait. Des heures durant ils s'abandonnent, jusqu'à ce que l'épuisement les gagne. Les jeunes gens ont besoin de repos avant la grande ère. De repos et d'un encas... Mélusine, ô combien comblée par les soins d'October se repait alors de ce phallus orphelin et s'en délecte, goûtant à nouveau à cette chose et lui découvre un goût bien plus onctueux...
L'apogée de Mélusine arrive, son règne voit le jour et avec lui une ère plus noire encore pour Nightmare Land... Son couronnement se fait dans la peur et le désarroi. Son règne se fera dans le feu et le sang.

Près de dix ans maintenant que ce monde n'en fini plus de mourir sous la coupe de cette nouvelle icône. Dix années que cette Souveraine a imposé sa propre religion.

Priez pour votre salut, priez pour votre Déesse.




Dernière édition par Mélusine Javrette le Ven 15 Juin - 21:55, édité 19 fois
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Annie DuboiseAnnie Duboiseprofil +"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] Empty
MessageSujet: Re: "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\ EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] EmptyVen 3 Juin - 17:00

Coucou Melusine ^^

Je voulais savoir où tu en étais avec ta fiche. J'espère que ce n'est pas trop difficile >_<. Envoie moi un Mp pour me prévenir quand tu auras terminé ta fiche ou s'il te faut un délai complémentaire ^^.

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Peter PanPeter Panprofil +"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] Empty
MessageSujet: Re: "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\ EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] EmptySam 4 Juin - 13:21


Rhô! Rome!! Me manque cette série. Heureusement qu'il y a Games of Thrones maintenant Smile.

Bienvenue et bonne chance pour le reste de la fiche Smile.
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InvitéInvitéAnonymousprofil +"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] Empty
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    Délai accordé jusqu'au 20 juin /o/
    Courage, t'y es presque ♥
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Annie DuboiseAnnie Duboiseprofil +"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] Empty
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Coucou Mélusine ^^
Je voulais savoir où en étais ta fiche ? ^^.
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Mélusine JavretteMélusine Javretteprofil +"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] Empty
MessageSujet: Re: "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\ EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] EmptyMar 8 Nov - 12:47

Pif paf pouf... Voilà. Fini. Je pense. 8D
Et je tiens à dire qu'on me demande de faire une pioute, une grosse conasse, alors je m'en suis donnée à coeur joie et n'y suis pas allée de main morte. J'espère que... Enfin si, je sais que c'est cru et non, mes rp ne seront pas comme ça hein. xD Fallait bien poser le décor de la vie de Mélu' et expliquer le pourquoi du comment elle est devenue ce qu'elle est. Et dans quelle atmosphère elle a grandi 8D

Bref. Bonne lecture. ôo

EDIT = OMG... xD Oui, j'ai édité moult fois. xD Alice est témoin de mon esprit insatisfait et perfectionniste x_X
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InvitéInvitéAnonymousprofil +"L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] Empty
MessageSujet: Re: "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\ EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] "L'Horreur porte son Nom..." ___Mélusine Javrette. [/!\  EXPLICITE & SANS AUCUNE POÉSIE — Âmes Sensibles s'abstenir - Peut... Doit Choquer.] EmptyDim 13 Nov - 17:08

Waza \O/ ♥ Bref, pas la peine de te souhaiter la bienvenue, ça a été déjà fait moultes fois. (et puis j'ai pas envie de le dire èé /PAN/)

Alors, j'ai parlé avec Annie et elle s'excuse de ne pas avoir pu te valider elle-même, par faute de temps, mais de ce qu'elle a lu, elle trouve cela très bien et ta version de Mélusine est semblable à celle que l'on avait imaginé. Elle ne voulait pas te faire patienter trop longtemps pour ta validation, donc tu auras compris, c'est moi qui le fait 8D (même si j'aurais bien voulu laisser le suspense perdurer)

On a corrigé les quelques fautes orthographiques et grammaticales ensemble et comme je te l'ai déjà dit, je n'ai vu aucune contradictions que ce soit dans le physique ou la psychologie. L'histoire tient la route et j'aime beaucoup *-* Franchement, tu as vraiment fait le Mélu parfaite, elle fait peur ... et j'ai retenu qu'il ne fallait pas l'approcher de trop près xD

Bref. Tu es validée

Tu peux désormais faire tes demande de lien, ton journal et si tu veux trouver quelqu'un avec qui rp, n'hésite pas aller demander ici.

Amuse toi bien sur le forum ♥ (fais attention, j'te surveille quand même D8)
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