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La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit

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InvitéInvitéAnonymousprofil +La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit Empty
MessageSujet: La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit EmptyLun 25 Oct - 18:29


Si tu veux rentrer à l'Ambroise,
va falloir me dire qui tu es...


Identité

  • Nom : Inconnu de la plupart des services et de la majorité de la population ayant eu affaire à cet individu.
  • Prénom : Idem que pour le nom. D'après certaines informations, ne serait donné qu'à des personnes de confiance.
  • Surnom : La Pie.
  • Âge : La quarantaine.
  • Origine : Est né dans cette ville, et y a vécu, sinon toute sa vie, du moins pendant une grande partie de celle-ci.
  • Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Ne possède pas de penchants particuliers, si ce n'est une certaine homophobie.
  • Métier : Proxénète.
  • Fonction : Gérant de l'Ambroise.


Tourne toi un peu, pour voir,
que je sache à quoi tu ressembles...


Physique

  • C'est un homme mûr, d'une quarantaine d'années. La silhouette fine et anguleuse, de grande taille, il ressemble bien à un oiseau – mais plus à un rapace qu'à un corvidé... Son visage ne possède guère de rondeur, et est endurci par un nez cassé et des yeux gris acier. Un bouc décore son menton, et ses cheveux roux – d'un rouge sang – sont coiffés en un genre de coupe mulet. Son visage est décoré de plusieurs piercings : un anneau à droite de la lèvre inférieure, une petite boule sur le côté gauche de la narine, et des écarteurs de taille moyenne voire petite, à chaque oreille. Il s'habille en général de débardeurs et de jeans déchirés, et décore son cou de colliers de dents ou bien de piques. Il possède également, sur l'ensemble du dos, un tatouage représentant une pie rouge, posée sur une branche, dont les plumes volettent sur le début de l'omoplate, et tenant dans son bec un pendentif avec un crâne écarlate. Il porte en permanence sur lui son Taser et un pistolet, ainsi qu'un paquet de cigarette et des allumettes – il les préfère aux briquets.
    La Pie possède certains tics ; grincer des dents, pianoter sur les tables, boire un peu trop... Il a une gestuelle souple et nerveuse, qui peut devenir erratique lorsqu'il est sous pression. Cependant dans l'ensemble, il est assez discret, et peut, s'il le souhaite, devenir imperceptible, ce qui est bien pratique lorsqu'il est pris par une de ses crises de kleptomanies. Lorsqu'il la fait entendre, sa voix se montre grave et éraillée par la cigarette et l'alcool, souvent froide ou bien teintée de sarcasme.


Et puis parle moi un peu de toi,
pour que je te connaisse mieux...


Psychologie

  • Connaissez-vous l'expression disant de quelqu'un qu'il a « oublié d'être bête » ? Et bien, La Pie, lui, n'a pas oublié. Cela ne signifie pas qu'il est idiot, loin de là – simplement, il a appris à ne pas chercher trop loin dans les ordres et les «conseils» qu'on lui donne. Si quelqu'un qu'il sait plus puissant que lui, ou en tout cas pouvant représenter un risque certain, commence à se montrer insistant, il ne cherchera pas à comprendre ou à s'interroger, et se retirera sans broncher ; il ne veut pas avoir d'histoire.

    La Pie est un kleptomane alcoolique, homophobe et cynique. Il ne peut s'empêcher de voler ce qu'il voit briller sous ses yeux, ou bien ce qu'il devine être quelque chose de valeur. De par ses origines difficiles, il a un besoin confinant à la névrose qui le pousse à avoir un maximum de biens, que ce soit des objets, de l'argent, de la nourriture – il lui arrive parfois de se lever au milieu de la nuit, pour vérifier qu'il a bien de quoi manger et assez d'argent. Ou bien pour se commencer une bouteille. Son alcoolisme le rend acariâtre et nerveux – même si paradoxalement, il a besoin de boire pour pouvoir se calmer lorsqu'il est en état instable. Il boit jusqu'à une bouteille pleine par jour – ou plutôt par nuit –, parfois plus.

    À cause de certaines choses qui ont pu lui arriver dans sa jeunesse, il déteste l'idée de ne serait-ce qu'avoir un semblant de relation charnelle avec un autre homme. L'idée que deux personnes du même sexe puissent ainsi s'attirer et se toucher le dégoûte ; cependant, il est conscient que bon nombre de personnes payent cher pour avoir un garçon à se mettre sous la dent. Aussi emploie-t-il également des jeunes hommes, en essayant de ne pas trop y penser. Cependant, il a plus tendance à se défouler sur eux ; même les rares Clefs qui sont des garçons doivent faire profil bas, s'ils ne veulent pas attraper une décharge électrique.

    Il n'aime pas faire des références à son passé, et déteste qu'on le compare à sa mère, qu'il hait à un point inimaginable. Même s'il est conscient qu'il reproduit le même schéma qu'elle, il ne veut ni l'admettre, ni l'entendre d'un tiers, et n'hésitera pas à faire taire ladite personne, même si celui est un proche.

    Cependant, ce n'est pas un monstre – enfin, pas à ce point ; il peut se prendre d'affection pour quelqu'un, et il l'a déjà fait, ayant ainsi déjà pris certaines personnes sous son aile. Mais depuis que la dernière personne à qui il s'était ainsi lié est morte, il n'a plus recommencé, et se montre désormais distant avec la plupart des gens, sans doute pour éviter que cela se reproduise, ayant fini par comprendre que décidément, les oiseaux ne sont pas fait pour être enchaînés, même par l'affection, même de leur plein gré. Malgré son nom d'oiseau, La Pie est un être humain. Et comme tous les êtres humains, il possède des faiblesses et des peurs, des affections et des envies ; il a un vertige énorme, et ne supporte pas d'être sur un sol instable, malgré une tendance paradoxale à monter sur les toits – en fait, il y monte instinctivement, pour être seul, et une fois là-haut, a toutes les peines du monde à redescendre. Il est déjà tombé amoureux, mais, comme pour plus tard son dernier protégé, cela s'est mal passé, et il essaye d'oublier, se noyant un peu plus dans l'alcool.

    Il n'aime pas particulièrement les Maîtres, qui le rendent nerveux et mettent, de par leur simple existence, en doute les thèses les plus cartésiennes du monde ; des personnages venus d'autres dimensions, possédant des univers entiers ? Quelques années plus tôt, il aurait sans doute ri ; maintenant, il évite de penser à cet aspect particulier de son métier – même si le fait d'héberger une Sphinx et des jeunes gens pouvant ouvrir des mondes dans son bâtiment n'améliore pas vraiment son dilemme. Mais même si ces gens-là le mettent mal à l'aise, ils le payent pour ce qu'il fait, et grassement ; aussi se contente-t-il de sourire et d'obtempérer, tout en empochant de fortes sommes d'argent, qui pour eux ne signifient sans doute rien, mais pour lui signifient tout ; la sécurité, le luxe, l'influence, bref, tout ce dont il a besoin pour ne plus sentir si... vide.

    Car c'est ainsi que La Pie se sent. L'oiseau voleur se sent vide, vieux, et surtout très fatigué. Comme dans de la ouate par moment, jusqu'à ce que lui saute aux yeux un détail de son passé ou de sa situation actuelle qui lui donne envie de détourner les yeux, et de s'endormir pour partir loin de tout ça. Mais alors, juste après, il se durcit, et éloigne les gens d'un regard froid ou d'une remarque cinglante, allant jusqu'aux attaques physiques si nécessaire. Et il tiendra ainsi le reste de la journée – ou de la nuit – jusqu'à ce qu'il puisse rentrer se coucher. À ce moment-là, alors, il attrapera une bouteille encore miraculeusement pleine ou bien déjà plus ou moins entamée, et boira, jusqu'à que l'alcool brûle sa gorge et la ouate autour de lui, jusqu'à ce que ses sensations enivrées s'effacent peu à peu au profit de la chaleur de la boisson, qui brûlera ses souvenirs de la nuit – jusqu'à ce qu'il oublie même ce pourquoi il a commencé à boire ce verre.


Tu me racontes un peu ta vie,
quand même ?


Histoire

  • La Pie est né dans un quartier défavorisé, presque un ghetto. Dans quelle ville ? Et bien, dans celle juste à côté d'ici, celle qui longe le bois. Oui, cette magnifique métropole, aux grattes-ciels étincelant comme s'ils flambaient de l'intérieur. Cette cité, où les routes sont illuminées de réverbères, où la foule ne semble jamais cesser de passer, comme un fleuve dont la source était intarissable. Maintenant, que se passerait-il s'il prenait envie à un passant de s'éloigner de la grande avenue, et de se diriger vers une de ces petites rues annexes, plus sombres et où passe moins de monde ? De toujours prendre les rues qui s'éloignent du centre-ville ? Au bout d'un moment, cette personne arriverait dans la périphérie de la ville, coin sordide et insalubre, où les immeubles tombaient peu à peu en ruines ; les rares réverbères encore en état de marche attirent sous leurs lumières clignotantes, comme des insectes en mal de lumière, des êtres aussi délabrés que leur lieu de vie, marchandes de bonheur en nature, marchands de rêves en pilules, vendeurs de sommeil éternel... Et si le malheureux passant assez stupide ou téméraire pour s'être égaré dans ce coin d'ombre de la cité payait un peu plus d'attention, peut-être arriverait-il à apercevoir quelques enfants dans cette foules de morts vivants, gosses arrogants ou bien furtifs qui portent déjà les prémices des ravages qu'entraînera sur eux cette vie sans espoir et aux sorties par trop utopiques.

    La Pie avait autrefois fait partie de ces gamins. Il n'avait pas été de ceux qui malgré leurs déboires possédaient plus ou moins une famille ou quelqu'un à qui se raccrocher, non, lui avait été de ceux qui survivaient plus qu'ils ne vivaient. Il était né d'une jeune fille amoureuse, qui fut abandonnée au moment où elle avait eu le plus besoin d'être soutenue, parce qu'elle portait un enfant beaucoup trop encombrant. Sans doute au départ avait-elle voulu aimer ce bébé, peut-être même était-ce déjà le cas. Mais lorsqu'elle fut contrainte de se vendre pour un peu d'argent, et au fur et à mesure que l'alcool qu'elle commença à prendre pour tenir bon prit de l'influence sur son esprit ravagé, cette minuscule lueur d'amour disparut pour laisser place à un ressentiment envers ce petit être pour lequel elle était tombée si bas, ressentiment qui se transforma en haine. Après la naissance de l'enfant, elle le laissait dans l'appartement minuscule, le confiant parfois à la voisine quand un de ses clients tenait à la voir chez elle. Celle-ci s'occupait vaguement du petit, pensant tout juste à lui donner à manger et à lui apprendre à se débrouiller lui-même, ayant déjà fort à faire avec ses propres rejetons. Cependant, le premier mot qui sortit de la bouche du petit garçon, ce fut en présence de sa mère affalée sur le canapé défoncé ; deux simples syllabes, qu'il avait si souvent entendu prononcé par l'un des gamins de la voisine : 'Maman'. La concernée, en entendant ce nom, tourna vers son fils un regard embrumé par l'alcool. Et la bouteille qu'elle lui lança dessus ne rata sa cible – la tête du petit – que de très peu.

    Le petit garçon apprit donc très tôt à survivre par lui-même. Régulièrement mis à la porte par sa génitrice, il commença à voler de la nourriture et des objets pouvant être revendus pour quelques billets, d'abord par nécessité, puis par habitude. Cette manie, ainsi que celle de se percher sur les toitures abandonnées lors de ses moments de solitude, lui valut le surnom de Pie. De fait, vu que presque personne ne connaissait son véritable prénom (sa mère elle-même avait plus tendance à traiter son fils de toutes les injures possibles plutôt que d'utiliser le patronyme officiel), ce qualificatif lui fit bientôt office de nom. De même, un jour – ou plutôt une nuit - qu'il fut une fois de plus privé de foyer, et ce, alors qu'il faisait moins dix dehors, il découvrit que l'alcool, qu'il abhorrait au départ pour ce que cela avait fait sur sa mère, l'aiderait à oublier un peu le froid qui le remplissait de fièvre, sa mère qui le haïssait, les clients qui semblaient penser que le tapinage était un trait génétique, bref toutes ses emmerdes, pourvu qu'il bût suffisamment de la boisson enivrante. Il avait treize ans.

    Mais l'adolescent ne connut pas que la haine comme sentiment. Il tomba sous le charme d'une jeune fille travaillant dans le quartier, exerçant le même métier que la mère du jeune homme. Mais ce travail d'habitude d'autant plus rebutant pour lui n'empêcha pas le jeune homme de tomber éperdument amoureux de la jeune prostituée, et entamant un étrange scénario de répétition : il l'hébergeait dans sa chambre, sans que sa génitrice ne le sache, pendant quelques jours lorsqu'elle avait besoin d'un toit, avant de se réveiller un matin quelconque et de s'apercevoir qu'elle était partie avec tout l'argent qu'elle avait pu trouver et emporter – peut-être finit-elle d'ailleurs par comprendre qu'il lui le laissait en vue volontairement, ou peut-être pas -, se mettait alors à la chercher frénétiquement, fou d'inquiétude, avant de la retrouver sur le trottoir dans les bras d'un autre homme, voire même d'ouvrir la porte et de la voir sur son palier, en général tremblante de froid et de fièvre et blessée plus ou moins sérieusement. Et il l'accueillait toujours, s'occupant d'elle avec dévouement, avant que ne recommence leur éternel jeu du chat et de la souris. Ironiquement, il ne la toucha jamais, et sans doute cela attisait-il l'incompréhension de la jeune fille ; mais elle ne lui demanda jamais d'explication, et ne montra jamais si elle lui retournait ou non son amour évident et exclusif. Un jour, une fois de plus, elle s'enfuit sans aucune explication. Il retrouva sa trace quelques semaines plus tard ; elle avait été enterrée dans une fosse commune, cadavre anonyme parmi tant d'autres.

    La haine que ressentait la mère et le fils l'un envers l'autre était aussi forte que partagée. Et le fait que maintenant le jeune homme chipait à sa génitrice les durs fruits de son labeur – à savoir les diverses bouteilles d'alcool qu'elle se payait – ne fit qu'envenimer les choses. Les disputes, ressemblant plus à des bagarres de rue qu'à de véritables invectives verbales, furent de plus en plus répétées, ainsi que de plus en plus violentes, et bientôt l'un des deux finit par tuer l'autre sans aucun remord. Non, la seule chose qui vint à l'esprit du jeune homme en voyant le corps sans vie de sa mère – de la garce, comme il l'appelait - fut de se demander ce qu'il allait bien faire du corps. Au final, il le démembra, et après l'avoir fourré dans plusieurs sacs-poubelles, alla mettre ceux-ci au dépotoir publique à l'orée de la ville. Quand il fut revenu à l'appartement, il s'assit dans un coin et regarda dans le vague. Il lui fallut un peu plus d'une semaine pour finir les réserves d'alcool de la maison. Puis après cela, il disparut du quartier.

    Personne ne sut jamais très bien ce qu'il lui arriva après ça. Il fit sans doute plusieurs métiers pour survivre, de l'informateur au petit dealeur de quartier. Peu après, il semblerait qu'un maquereau l'embaucha, d'abord comme dealer, avant que peu à peu, la Pie ne monte les échelons, pour finir second du Boss. Là, à la mort relativement rapide de celui-ci, il prit la tête du réseau qui lui était légué de droit, le feu patron n'ayant pas d'enfants – du moins pas d'enfants reconnus. Une fois encore, les années passèrent ; l'homme se prit d'affection pour un gosse orphelin, partageant avec lui un sobriquet de volatile, et le prenant plus ou moins sous sa protection, lui apprit diverses choses. Cependant, quelques années plus tard, le jeune oiseau mourut, dans des circonstances assez floues et sans doute connues uniquement de lui et de son ancien mentor ; après cela le maquereau se referma définitivement sur lui-même. Il laissa son réseau aux mains de son second, et une fois de plus, disparut de la circulation. On le retrouva encore après à la tête de cet étrange bordel à l'orée du bois. Peut-être le Passeur l'avait-il pris en affection ; ou bien peut-être certains Maîtres, voyant la nécessité de posséder sur le terrain un personnage neutre, le choisirent-il. Toujours fut-il que bientôt l'Homme à nom d'Oiseau fut placé à la tête de la maison close aux portes infinies ; et cela, pour le meilleur et pour le pire.


Allez laisse tomber les masques,
dans la vraie vie, tu es qui ?.


Hors RP

  • Vrai nom ou pseudo : Alyss
  • Auteur de l'avatar (dis quel est l'artiste de ton avatar) : Dieu 8D Non, je rigole, c'est moi.
  • Comment tu as découvert ce forum ? On m'a demandé, j'ai accepté, puis j'ai refusé, puis je l'ai revu... Et j'ai de nouveau succombé. Saleté.
  • Et tu en penses quoi, dis ? Nul à chier. C'est d'ailleurs pour ça que je m'y suis inscrite. Non, plus sérieusement, c'est une question-piège ?
  • Un commentaire ? Bloop.
  • Code : [Validé by Annie]


Dernière édition par La Pie le Lun 25 Oct - 23:27, édité 4 fois
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Annie DuboiseAnnie Duboiseprofil +La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit Empty
MessageSujet: Re: La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit EmptyLun 25 Oct - 23:02

Oooh \ô/. Bon je sais que je n'ai pas le droit de parler pour ne rien dire...

Mais ta fiche est merveilleuse, sans fautes d'orthographes (mais tu le sais déjà ^^). Ton personnage est attachant et ton histoire m'a donné envie de faire un câlin à cette chère Pie.

Je n'ai rien d'autre à ajouter ^^.
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InvitéInvitéAnonymousprofil +La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit Empty
MessageSujet: Re: La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit EmptyMar 26 Oct - 13:43

Je plussoie vigoureusement ma collègue, et me permets, avec son accord, bien sûr, de te valider sans plus tarder! Bienvenue, chère Pie, gérant de notre belle maison =) Félicitation, pour cette fiche superbement écrite, l'Ambroise est entre de bonnes mains !
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MessageSujet: Re: La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit La Pie, Gérant de cette maison de f... De cet endroit Empty

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